
Un Zulma. Parce qu'un Zulma, même si on aime par forcément, on trouve toujours quelque chose pour finir émerveillé de ce qu'on a lu. Et puis, sans faire encore l'éloge de Pearson qu'on loue ici a chaque lecture du catalogue de Zulma, il se dégage de la couverture, toujours, ce petit quelque chose qui donne du cachet au bouquin. La couverture sert le texte avant même de savoir à quoi il ressemble. Parce que Zulma, ca sert la littérature.
En l'occurrence, Les immortelles. Je suis totalement infoutu de savoir si j'ai aimé le texte, mais...
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