
En voilà une critique dont la rédaction s'annonce épineuse. Le violon de Rotschild, petit texte de Tchékhov, ne pèse que trente pages. Le but est d'en parler sans le parapgraser jusqu'à retranscrire le récit entier avec des mots différent.Pour planter le décor (mais le planter dans quoi ?), Iakov est vieux, il habite une petite isba depuis quarante ans avec sa femme, et fabrique des cercueils. Iakov compte plus les sous qu'il ne gagne pas que ceux qu'il gagne. Jusqu'au jour ou Marfia, madame Iakov s'éteint. Autant s'arrêter là, vous...
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