
Il y a des moments, de temps à autres, ou ce qui peut se dire de
positif découle de son antécédent. Par exemple, je me retrouve démuni
devant "Le voyage dans le passé", parce qu'encenser ce texte est
superflu, ferait trop lourd après sa lecture. Au fond, après une
lecture de Zweig, le silence qui suit est encore de Zweig, à tel point qu'une fois fini, tu ne peux pas t'emêcher de recommencer le bouquin. C'est génial,
c'est tout. C'est la littérature absolue, rien a redire, qu'est-ce qu'on peut rajouter, de toute facon ?...
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