
Qu'on me pardonne on manque d'assiduité aux livres, ces derniers jours. Jeux Olympiques obligent, je déplore cette chronophagie dont je suis victime sans rien faire pour y remédier. Et puis bon, les escrimeurs francais s'étant tous fait plier les uns après les autres, je reviens logiquement à mes premières amours.
Donc, Tuez-moi. Pour de faux, hein, mais Tuez-moi. Il s'agit là d'un opus qui ne ressemble en rien à son apparence. On s'imagine un texte court, vite ingéré et presqu'aussitôt oublié, mais on s'apercoit finalement assez...
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