
Le moins que l'on puisse dire, c'est que Je vais mourir cette nuit tranche radicalement avec Le bel otage ou Lucia Antonia, funambule. Alors assieds-toi, que je t'en parle, et n'hésites pas à me réclamer un café, une bière ou ce que tu veux. De toutes facons, comme moi lorsque j'ai refermé le bouquin dans le bistrot dans lequel je l'ai terminé, j'ai rechigné à faire quoique ce soit: ni recommander autre chose, ni régler ma note, ni aller m'en griller une, ni aller me dégourdir les jambes. Je n'étais pas prostré, attention,...
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