
Au hasard d'une librairie, chez un confrère du bord de mer qui liquide son stock, sans crier gare, un Antoine Volodine. Enfin, pas directement, un Manuela Draeger, pour être exact. Du coup, je me suis souvenu de Onze rêves de suie, il y a deux ans, et de la plume post-apocalyptique et/ou fantasmagorique que je rapprochais à celles de Julien Capron ou Vincent Message. Ou Xabi Molia.
Ici, point d'apocalypse, que dalle. Un monde imaginaire, évidemment, comme beaucoup chez Volodine, et un certain lyrisme, pour le...
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