
Oui, mais c'est comme ca. Sans qu'on puisse vraiment trouver de raison particulière et fiable, le pauvre Adnihilo entre dans une ère graphique, pleine de BD, de vignettes, de scénarii plus ou moins crédible et finit par ne pas se considérer si pauvre que ca tant il ne soupçonnait que très peu les richesses pourtant pas si cachées de cette branche là, précise. Il ne s'agit pas de répulsion envers la si sacrée littérature, et Kisliakov, Blanc, Erckmann-Chatrian, Prévost et Moeri ne sont pas scandaleusement éclipsés pour autant, mais...
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