
Il y a ceci de merveilleux et gênants chez les auteurs anglo-saxons qu’ils sont trop imaginatifs. SI on prend, par exemple, l’exemple de Jenni Fagan, parce que c’est de son texte dont parle aujourd’hui, on distingue bien les deux faces de sa principale qualité.
L’imagination, j’entends. Pas l’écriture, quali et discrète et qui sert parfaitement le récit comme elle le doit ; pas non plus l’imaginaire, différent de l’imagination dans sa source initiale (on n’est pas dans Valérian, quand même). La base du roman est assez simple...
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