La grande fleur en pamoison
Le Comte est en vacances. Pas de panique ! Il est toujours là. avec une petite nouveauté, c'est le fait de pas avoir à payer pour la connexion. Hé hé !
Mais là. Ô grande surprise en arrivant dans sa chambre qui fut sienne autrefois. C'est l'immense joie et le plaisir de retrouver sa bibliothèque. Tous ses livres, tous lus intégralement. J'aurais souhaité nager dedans et je ne m'en prive pas pour autant...quelle immense délectation.
Tant de livres, tous choisis avec soin et application. Chacun d'entre eux pour un évènement bien précis ( enfin pas tous...) Une bibliothèque parfaite à l'image de ma curiosité, parce que Nerval côtoyant du Manga... De la littérature de tous bords venus de loin.
Ah mes mais, quel délice !
Bon, soyons plus constructifs. Je réserverais quelques-uns des meilleurs pour vous en parler. actuellement je termine Dublinois ou Gens de Dublin ( selon la traduction ) de James Joyce, grand auteur Irlandais de naissance, associé à la littérature anglaise pour des questions historiques et pratiques de mon côté.
Il s'agit d'un recueil de nouvelles. C'est un livre à part dans l'oeuvre de l'auteur. Ici, un style sage et descriptif mais toujours autour des thèmes favoris de l'auteur, tels la jeunesse, l'adolescence, la vie publique. Bon c'est écrit sur la quatrième de couv'. Le concept est ici un simple morceau de vie, Ni début ni fin, seulement un bout de la vie des gens. C'est une lecture raltivement contemplative, il n'y a pas grand chose à décrpyter puisque Joyce s'occupe de la description intégrale, peu de place à l'intuition.
Mais j'ai été étonné, certes la clarté des nouvelles peu s'avérer un peu frustrante, on aimerait parfois découvrir par nous même certaines choses. Joyce ne nous laisse pas ce choix. Mais si vous vous laissez porter par la lecture, la simple lecture, vous y trouverez votre compte. J'ai délibérement souhaité ne pas lire dans ma découverte de Joyce par son plus connu.
C'est un choix personnel.
Mais j'ai été agréablement supris, c'est fluide, sage, calme. A vrai dire, Joyce, aimait Dublin. C'est tout ce qu'il faut voir dans ce recueil longuement interdit à la publication.
Lu intégralement dans le métro, RER et le train qui m'a amené chez mes parents pour mes vacances. J'ai vraiment aimé ce livre. Une lecture sympathique.
Comte