9 février 2009
Les morsures de l'amour
Monnereau est publicitaire. Son bouquin a été baptisé Les morsures de l'amour et la Table Ronde à eu la bonne idée de le publier.
Maintenant, c'est bon, les infos sont balancées, on peut y aller.
C'est rigolo. Autant le dire tout de suite, parce que le moins qu'on puisse dire en voyant les nouveautés de janvier-février parlent plus de malheur et de guerre, de mort et de tristesse que de rigolade ou d'absurde. Les morsures de l'amour, en revanche, c'est que de l'absurde. En barres, même, de l'absurde en barres. Sous prétexte qu'il a envie de changer de vie, le personnage principal, publicitaire comme l'auteur, décide du jour au lendemain de se transformer en chien. Alors, il se couche humain et se réveille canin, et part de chez lui pour aborder clandestinement sa nouvelle vie où il existe mais n'est plus personne.
Du point de vue littéraire, on repassera, mais, jamais l'acide lactique dont je parlais dans l'article précédent, daté du 7 février (alors qu'en fait je l'ai écrit il y a dix minutes) se déverse jusqu'à trop vous fatiguer, Les morsures de l'amour vous feront sans doute l'effet d'un truc pas intellos qui vous refilera, comme tout bon bouquin, le plaisir de la lecture, tout en vous reposant les neurones fatigués. Comme quand vous voulez aller au ciné, un soir après le boulot, mais pas pour voir quelque chose de trop intello ou prise de tête, en évitant Woody Allen, Steven Spielberg ou Ridley Scott (qui font des grands films, mais qui nécéssite une bonne forme pour pouvoir pleinement en profiter et savourer). Eh ben les morsures de l'amour, c'est exactement ce qu'il vous faut, c'est en quelque sorte un livre Dunlopillo.
Maintenant, c'est bon, les infos sont balancées, on peut y aller.
C'est rigolo. Autant le dire tout de suite, parce que le moins qu'on puisse dire en voyant les nouveautés de janvier-février parlent plus de malheur et de guerre, de mort et de tristesse que de rigolade ou d'absurde. Les morsures de l'amour, en revanche, c'est que de l'absurde. En barres, même, de l'absurde en barres. Sous prétexte qu'il a envie de changer de vie, le personnage principal, publicitaire comme l'auteur, décide du jour au lendemain de se transformer en chien. Alors, il se couche humain et se réveille canin, et part de chez lui pour aborder clandestinement sa nouvelle vie où il existe mais n'est plus personne.
Du point de vue littéraire, on repassera, mais, jamais l'acide lactique dont je parlais dans l'article précédent, daté du 7 février (alors qu'en fait je l'ai écrit il y a dix minutes) se déverse jusqu'à trop vous fatiguer, Les morsures de l'amour vous feront sans doute l'effet d'un truc pas intellos qui vous refilera, comme tout bon bouquin, le plaisir de la lecture, tout en vous reposant les neurones fatigués. Comme quand vous voulez aller au ciné, un soir après le boulot, mais pas pour voir quelque chose de trop intello ou prise de tête, en évitant Woody Allen, Steven Spielberg ou Ridley Scott (qui font des grands films, mais qui nécéssite une bonne forme pour pouvoir pleinement en profiter et savourer). Eh ben les morsures de l'amour, c'est exactement ce qu'il vous faut, c'est en quelque sorte un livre Dunlopillo.
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